Amberath

Rebecca Kean, tome 7, Cassandra O’Donnell

Présentation

Je suis d’une nature profondément optimiste, la preuve : ma meilleure amie s’apprête à donner naissance à “Damien, le fils du diable” ?
Je me dis pas grave, tant qu’il naît sans cornes et sans odeur de soufre, on devrait pouvoir gérer. 
Mon petit ami me ment depuis des années ?
Pas de problème, je décide de retourner chez moi et de m’y construire une vie meilleure… 
Bref, je reste positive. Du moins, c’était le cas jusqu’à maintenant. Parce que, pour la première fois de ma vie, j’ai beau chercher, je ne vois vraiment pas comment je vais pouvoir m’en tirer…

14.5/20

Chronicle

Eh bien non, ça n’a pas été pour 2023 mais pour la fin 2022. Y’en a une qui s’améliore 😁

Bon, alors, pour ce volet, je dirais que c’était un peu mieux que le précédent en termes de qualité du récit, toutefois, on voit bien (plus que bien) que la série s’essouffle. Je trouve même que ça commence à tourner en rond. J’apprécie énormément les enquêtes policières de Rebecca maiiiiis, quand on focalise sur celles-ci, sa vie privée est laissée en suspens et vient un jour où on arrive au septième tome avec l’immense impression d’être toujours au même point de départ. D’ailleurs, je m’étonne de le remarquer que maintenant mais le personnage de Rebecca a à peine évoluer alors que ça fait maintenant des années que je lis cette série. Y’a pas vraiment de développement de personnage autour d’elle et c’est quand même assez problématique de dire ça alors que, je le répète : c’est le septième tome ! D’un autre côté, comment fait-on pour développer un personnage qui est déjà parfait ? C’est ce que je disais dès le premier bouquin !! En fait, on tourne complétement en rond !

C’est comme pour l’enquête de l’Assayim qui a toujours représenté ma partie préférée. Or, elles commencent toutes à se ressembler, elles finissent toujours pareil et, surtout, c’est trop facile pour Rebecca car elle n’a peur de rien. C’est elle qui fait peur à tout le monde et qui est la plus forte et la plus intelligente. Rien ne lui échappe. Elle ne rencontre pas d’obstacles quand elle investigue sur une affaire donc même si l’affaire en elle-même est prenante, on ne peut que finir par être lassée car, tout simplement, rien n’est un challenge pour elle. D’ailleurs, cette nouvelle intrigue est parlante et illustre bien ce que je dis en deux choses :

  • La première, c’est que pour le coup, je m’attendais à ce que l’enquête sur les opperstes continue dans cette suite. C’est très bizarre parce que ça ne m’avait pas semblé terminé au tome précédent, bien au contraire. Pourquoi l’autrice a coupé court à cette intrigue, comme ça ? Peut-être parce qu’elle était trop difficile à mener et que Rebecca n’aurait pas eu le dernier mot comme d’habitude ? Dans tous les cas, passer invariablement d’une affaire à une nouvelle affaire qui occupe quasiment tout le tome à chaque fois, ça rythme peut-être bien le récit mais ça fait surtout diversion sur le vrai fond de l’histoire qui est l’évolution personnelle de son personnage principal. Car, pour ma part, je commence à trouver très agaçant de faire encore durer le suspense concernant l’arc sur sa partie démoniaque alors qu’on nous en parle depuis quatre ou cinq tomes maintenant. 
  • La deuxième et qui aurait pu constituer un bon point si ça n’avait pas été comme toujours aussi simple pour Rebecca, c’est cette nouvelle enquête elle-même qui se focalise sur des créatures dont on ne nous avait encore jamais parlé, les enchanteresses aka les fées. On a donc une intrigue qui se réinvente avec l’entrée de nouveaux personnages qui ont l’air d’être très challenging pour notre sorcière Vikaris. Moi j’ai trouvé ça super cool car elle a enfin des adversaires à sa taille. C’est trop facile de se battre – de battre plutôt – des méchants qui sont toujours plus faibles que soi. Je dirais même des méchants qui sont moins méchants que soi. Mais même avec ces fées si terrifiantes et sans foi ni loi, Rebecca s’en sort vainqueur et elle ne gagne pas de justesse ou en ayant failli mourir ou avec difficulté ou quoi. Non, elle, elle gagne les mains dans les poches en faisant des blagues pendant le combat. Pourtant, quand on voit le cinéma que nous faisaient les Vikaris sur la dangerosité des fées et le fait que si elles partaient en affrontement direct contre elle, elles perdraient, on aurait pu s’attendre à ce que ce soit moins facile. Rebecca elle-même a affirmé qu’elle avait peur d’elles donc je pensais voir un adversaire monstrueux. Mais, en fait, non. Franchement, j’ai pas du tout aimé ce faux suspense qui n’a été que mensonge. Elles ont dit que les fées étaient plus fortes qu’elles, pourtant elles les tuent toutes. Elles ont dit que les fées étaient quasiment invincibles, pourtant il ne suffit que d’une balle pour les tuer. Rebecca qui nous sort encore ses flingues et ses pouvoirs magiques toutes les trois lignes. Qu’elle nous range tout son tralala là, ça y est, y’en a marre. 

Tout un foin pour pas grand-chose, c’est décevant. Pourtant, j’ai bien aimé l’histoire, j’ai même préféré ce tome à celui d’avant mais c’est toujours pareil. Je fais d’ailleurs les mêmes reproches de chronique en chronique. Le fait qu’elle soit aussi tyrannique, moi ça me gaaave. Je n’en suis qu’au chapitre 1 qu’elle menace déjà un vieux loup de son flingue en plein dîner car il a eu le malheur de lui dire que « Les armes sont une preuve de faiblesse. » Déjà, oui, les armes sont une preuve de faiblesse, y’a aucun mérite à tuer de loin (y a-t-il même un quelconque mérite à tuer quelqu’un ?) et deuxièmement, pourquoi la scène doit faire aussi pitié quand elle lui ordonne de muter pour lui prouver que : 

« naître loup est une condition suffisante pour remporter ce combat. Si vous me tuez, ça signifiera que j’ai tort. Si c’est moi qui vous tue, eh bien… »

Rololo mais purée, qu’on lui enlève le balai qu’elle a dans le cul lacelle, on n’en peut plus ! On a compris que c’était la plus forte du monde, pas la peine de nous menacer de mort chaque pauvre type qui passe par là. Pas mieux pour m’agacer que de lire ça dès le début. 
Ses méthodes d’investigation me saoulent tout autant. J’avais déjà parler de la torture et maintenant je vais aussi parler du libre-arbitre. Quand je lis qu’elle fait avaler de force une potion de vérité au père de Kara, la petite pourchassée par les fées pour lui faire avouer où est sa fille, ça me fait souffler comme pas possible. Toute cette scène me fait souffler. Elle avait déjà prévu sa potion à l’avance, de cette façon tout est réglé au plus vite. C’est de cela dont je parle quand je dis qu’elle ne rencontre aucun obstacle. Elle a toujours réponse à tout, y’a jamais rien qui la fait buter car tous les personnages (sauf peut-être Raphael) sont obligés de faire ce qu’elle leur commande. Enfin, le but d’un livre, c’est pas qu’il y est un peu de péripéties ? Ensuite, elle lâche au père (ça doit être un crédo chez elle comme elle le répète sans arrêt pour justifier toutes ses actions) que ce sera sa faute si sa fille meurt. Non mais ho, ça va pas ou quoi ? C’est le père de la fille, tout ce qu’il veut, c’est la protéger et la mettre en sécurité et vu comme Rebecca débarque comme une furie chez lui, ça ne m’étonne pas qu’il se méfie d’elle. Elle ose même ajouter quand elle veut prendre sa fille avec elle que : 

« je pouvais parfaitement me dispenser de son accord et que ce choix n’en était, en réalité, pas un. »

Mais pour qui elle se prend ? Certainement que la fille est plus en sécurité avec Rebecca mais de quel droit elle impose sa volonté à un parent sur son enfant ? En fait, moi, je me mets juste à la place d’une mère et je n’accepterais jamais, comme tout le monde, qu’une inconnue folle furieuse débarque chez moi pour me dire quoi faire de mon gosse surtout si le gosse en question est menacé. Sorcière, prêtresse, déesse ou que sais-je encore, je l’aurais éteint sur place. Si Rebecca se permet tout ça, c’est qu’elle est intouchable, rien ne lui résiste, j’vous l’ai dit, aucun challenge devant elle, c’est bien dommage de toujours marcher sur tous les personnages qu’elle rencontre sans aucune résistance.

Carrément, j’ai envie de baisser ma note maintenant. Oui, allez, on passe d’un 15 à un 14.5 car je souhaite rester gentil mais ce tome ne mérite pas de BronzeList. Même le côté humoristique qui constituait une des plus grandes forces de la série s’est essoufflé car l’humour me paraît maintenant si forcé. On peut par exemple reprendre ce que je disais plus haut à propos des affrontements contre les fées où Rebecca et les autres Vikaris étaient plus occupées à faire des blagues que se battre. En plus de décrédibiliser l’ennemi a priori si terrifiant, ceci a eu pour conséquence de priver les scènes de toute la tension qu’elles auraient pu avoir. On se serait cru dans les sitcoms où l’acteur dit un truc drôle suivi par des rires préenregistrés. Je vois ça comme une erreur de narration. Cela étant dit, j’ai bien aimé l’humour de Bruce car il ne se prend jamais au sérieux, c’est léger et approprié. Son retour dans la série est cool, il a permis de rafraîchir un peu les amours de Rebecca tout en fusionnant avec son monstre pour nous montrer, pour la millionième fois, à quel point notre héroïne est forte et indestructible.

Et vient maintenant le point 💏love story💏 – storiies plutôt. Comme pour l’histoire des opperstes, j’ai été étonnée de voir que la rupture avec Raphael était si catégorique du côté de Rebecca, moi qui disais dans mon analyse précédente que son amour pour lui semblait enfiiiiiiiiiiiiiin tranché. Décidément, j’ai peut-être dû mal lire (ce qui m’étonnerait car je ne lis pas mal.) Y’a quand même quelque chose qui m’embête dans cette histoire : Raphael et Rebecca forment un couple très distant l’un de l’autre. Ils ne sont pratiquement jamais ensemble dans la série. Dès lors, pourquoi Raphael prend super mal la rupture et souhaite la garder à tout prix auprès de lui, quitte à la faire chanter et à ce qu’elle devienne même son ennemi ? L’aime-t-il véritablement ou est-elle juste un jouet pour lui, un caprice de dieu vaniteux ? J’ai un peu de mal à saisir la “force“ de leur amour car, quand on y pense un peu, l’autrice a très peu développé leur relation dans les bouquins. A part partager des liens surnaturels entre eux (ah bah oui, ça arrange bien tous ces liens quand on a la flemme de développer une vraie histoire d’amour), on n’en sait pas plus sur la qualité de leurs sentiments respectifs. Y’a un moment tout bête où elle dit que ça faisait des années de relation avec lui et j’n’ai pas pu m’empêcher d’être étonnée car, effectivement, le temps est passé vite dans les tomes et pourtant ils n’ont rien construit [hum, le temps est passé super vite aussi de mon côté, maintenant que j’y pense. J’ai commencé cette série en janvier 2017 et on est presque en 2023, mais qu’est-ce que j’ai foutu de ma vie pendant ce temps ?] Comme ils sont toujours au même point de départ, on pourrait croire qu’ils se connaissent depuis un an tout juste. C’est pour cela que je disais plus haut qu’il n’y a pas de développement de personnage autour de Rebecca et ça se voit bien quand on s’intéresse à ces rapports avec les hommes qui gravitent autour d’elle. On peut juste donner l’exemple d’Ali avec qui, depuis leur dîner ensemble qui remonte déjà à quatre tomes (!!), rien n’a changé. Il est clairement intéressé par elle mais elle, elle est toujours dans la même position qu’au tome 4 avec lui, c’est-à-dire qu’elle n’est pas trop intéressée mais un peu quand même, du coup il continue d’être un prétendant à son cœur. Puis c’est quoi ces effusions amoureuses à chaque fois qu’elle rencontre un de ses dit prétendants, devant sa garde personnelle ?! Je trouve ça grave embarrassant. Ali puis Bruce, pourquoi elle se fait galoche par tout le monde en public ? J’comprends pas 😂

Vous voyez, c’est pour ça que j’peux pas considérer son amour avec Raphael aussi sérieux alors qu’elle flirte où qu’elle passe. D’ailleurs, elle n’est même pas triste de leur rupture, on dirait simplement que c’est un problème de plus qu’elle doit gérer sur sa liste. De toute façon, avec le retour de Bruce, elle est déjà occupée à autre chose. Et quand elle ose dire :

« Mais maintenant que nous avions atteint le point de non-retour, je me rendais compte que, si j’avais tenu le loup à l’écart durant toutes ces années, ce n’était pas par choix mais par peur. Peur de ce que Raphael pourrait lui infliger si je franchissais cette ligne rouge avec lui. »

Mmh, menteuse. Elle préférait Raphael à Bruce à cette époque car elle était – est toujours – attirée par la puissance et Raphael était plus fort que Bruce, ni plus ni moins. Puis, ça veut dire quoi ? Elle voulait une union libre ou un truc du genre pour être avec les deux en même temps ? Elle est amoureuse de tout le monde et elle a trop de sentiments, ça fait pas très Vikaris tout ça, si vous voulez mon avis.
Hé d’ailleurs, maintenant que j’y pense : j’arrivais à la conclusion au tome d’avant que si Rebecca n’était entourée que de vieilles dans son clan, c’était parce que l’autrice ne voulait pas la mettre en compétition avec une autre sorcière jeune qui serait aussi belle et dangereuse qu’elle. Or, il apparaît ici des toutes jeunes recrues qui vont former la garde personnelle de Rebecca. En plus d’être totalement soumises à leurs reines (évidemment), il s’avère que les deux principales recrues à qui on donne un peu de relief sont amoureuses l’une de l’autre. Ah bah voilà, on en fait des lesbiennes comme ça, pas de concu !

Globalement, je trouve que ça reste un bon tome mais on est bien loin des palpitations du début. La première moitié du livre jusqu’à l’attaque chez la meute de Gordon m’a semblé plus intéressante que la seconde où le rythme ralentit pour laisser place à l’enquête et ses défauts que j’ai expliqués plus haut. Deux dernières petites chose, une que j’ai adorée et une que j’ai détestée :

  • L’allusion au covid, c’est génial ! Ce que ça fait plaisir de lire des bouquins un peu récents, ça me change des titres de la Liste de mes envies qui date d’il y a dix ans et qui me pourrit littéralement la vie 😭
  • En revanche, le passage vers la fin où Bruce et Rebecca parlent de dieux avec l’idiote qui nous sort :

« Tu as dit l’autre jour que les humains s’étaient choisi un autre dieu. Mais quel poids peut bien avoir une chimère face à une Déesse de chair et de sang ? »

Je suppose que l’autrice doit sûrement croire en Batman pour nous sortir ce genre de sales bêtises. Qu’elle se contente d’inventer des univers magiques dans son coin au lieu de manquer de respect au gens qui croient. Ce sont ses conneries qui sont des chimères, pas mon dieu. Purée, si y’a bien un truc que je hais, c’est qu’on se foute de la gueule des religions. Quand je lis des grossièretés pareilles, je me sens tellement insultée, c’est vraiment honteux d’avoir aussi peu de considération pour ses lecteurs. Eh, bah, ça y est, j’ai encore envie de baisser la note ! Je termine cette chronique ici sinon on n’est pas sorti de l’auberge. 


Les extraits que j’ai choisis

C’est drôle, maintenant que j’y songeais, tous les signes étaient là et nombreux étaient ceux qui m’avaient avertie que Raphael n’était pas ce que je m’imaginais, que sa puissance était infinie et qu’il n’était et n’avait jamais été humain, mais j’étais bien trop aveuglée par mes sentiments pour écouter leurs mises en garde, et voilà maintenant où j’en étais.
Pff… Pathétique…
— Viens-en au fait. Qu’est-ce qui te pose problème exactement ?
Oh ben laisse-moi y réfléchir, je ne sais pas moi, tes mensonges, le fait que tu sois considéré comme l’un des pires fléaux de la mythologie, un monstre au cœur froid qui ravageait les cités par caprice, le sadique fondateur du peuple scythe et qui était à l’origine de ses coutumes les plus barbares (y compris la fâcheuse habitude qu’ils avaient de s’abreuver du sang de leurs ennemis à même les têtes décapitées durant les batailles), un exterminateur de vie, de civilisations, un ravageur de mondes, un mégalomane incontrôlable et incontrôlé, je continue ou… ?
Il me dévisagea comme s’il avait pu suivre le cours de mes pensées et déclara en soupirant :
— Rebecca, si ce sont mes pouvoirs que tu redoutes, sache que j’ai renoncé à la plupart d’entre eux en choisissant cette existence. Je ne suis plus que l’ombre du dieu que j’ai jadis été.
J’étais censée faire quoi ? Applaudir ?
— Et ça devrait me rassurer ?
— Qu’attends-tu de moi au juste ?
Je le dévisageais longuement. Peu de relations survivent à une totale transparence. Mais les non-dits dans un couple étaient une chose et la duperie, une autre. Raphael, le vampire que j’avais aimé durant des années n’existait pas. N’avait jamais existé. C’était un mirage, une illusion.
— Rien. Tout ce que je veux, c’est m’en aller.

Bruce me dévisagea longuement comme s’il guettait une réponse puis il lâcha tout à coup :
— De l’angoisse ?
Bon sang, sa toute nouvelle capacité à sentir mes émotions commençait vraiment à devenir pénible…
— Bruce, ça suffit, ordonnai-je.
— Elles t’effraient à ce point ?
Je luttai pour conserver une attitude impassible mais refusai de mentir pour autant. 
— Je les redoute suffisamment pour ne pas prendre le risque d’entrer directement en conflit avec elles, oui.
Il eut l’air tellement surpris qu’il resta silencieux quelques secondes.
— Je n’aurais jamais cru entendre ces mots sortir un jour de ta bouche.
Moi non plus. Enfant, Grand-mère m’avait souvent reproché mon témérité. Et effectivement, la tempérance et la prudence ne faisaient pas partie de mes vertus. Mais j’étais une grande fille responsable à présent et je n’allais certainement pas me lancer dans une bataille perdue d’avance. Pas à moins d’y être acculée.
— Tu es déçu ? demandai-je.
Un petit pli se forma entre ses sourcils comme s’il cherchait quelque chose à répondre ou la manière dont il voulait répondre.
— Un peu. C’est comme découvrir que le monstre qui se planque sous ton lit et te terrorise tous les soirs a une peur bleue de celui qui se cache dans le placard.
L’analogie était bien trouvée. C’était exactement ça.

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