Le Trône de Fer

Le Trône de Fer, tome 1, George R. R. Martin
tome 2

Présentation

Le royaume des Sept Couronnes est sur le point de connaître son plus terrible hiver : par-delà le Mur qui garde sa frontière nord, une armée de ténèbres se lève, menaçant de tout détruire sur son passage. Mais il en faut plus pour refroidir les ardeurs des rois, des reines, des chevaliers et des renégats qui se disputent le trône de fer. Tous les coups sont permis et seuls les plus forts, ou les plus retors, s’en sortiront indemnes…

15/20

Chronicle

J’vais pas mentir, Le Trône de Fer n’était pas du tout une lecture prévue cette année. Y’a trop de tomes, j’ai regardé la série télé l’année dernière (que j’ai kiffée) et, surtout, ce n’est pas dans la liste de mes envies !! Moi, faut bien que je la finisse cette liste, or, elle est à peine entamée ! Et au lieu de ça, je m’ajoute une quinzaine de tomes d’une série que je connais déjà (presque) de bout en bout. En fait, je voulais aider une connaissance (ouais, j’ai grave le 🤍 sur la ✋🏼), qui, trop fan de GOT, a vécu comme un traumatisme la fin nullissime de l’adaptation. Je lui ai donc répondu qu’il était sûrement possible de guérir de ce final misérable en lisant les bouquins. C’était donc parti pour une lecture commune. Sauf que… bah finalement, je l’ai lu toute seule. Ah là là, mon altruisme me tuera un jour. 

Bon, si je veux être totalement honnête, y’avait une petite partie de moi qui voulait quand même lire tout ça donc c’était l’occasion que je m’y mette. Le problème, c’est que je n’ai jamais lu un livre APRÈS avoir vu l’adaptation donc je ne savais pas trop à quoi m’attendre, j’avais surtout peur que ça se répète trop. Comme j’avais déjà regardé la série télé, je n’avais pas de grand intérêt à lire le livre car, bien que j’aie grave aimé, je ne suis pas non plus une fan absolue de la franchise donc je n’avais pas plus que ça la curiosité de découvrir par exemple les différences entre les bouquins et l’adaptation. J’veux dire, j’ai tellement d’autres livres inexplorés qui attendent seulement que je me plonge dedans et j’ai tellement peu de temps à accorder à la lecture, j’aurais plutôt préféré consacrer ce peu de temps à une série totalement inédite pour moi.

Ce n’était pas non plus aussi terrible que ça, j’avais kiffé regarder la série alors je savais que ça allait forcément être une bonne lecture, et ça l’a été !

Le premier point qui m’a impressionné dès les premières pages et jusqu’à la fin, c’est la fidélité de l’adaptation au livre d’origine ! Elle le suit à la lettre, même les dialogues des personnages sont quasiment identiques à un ou deux mots près ! J’ai trouvé ça super, ça explique pourquoi les premières saisons de GOT étaient aussi bien. Bien sûr, il y a quelques scènes qui ont dû être remanier pour l’écran mais globalement, je constate que le début de la série télé a été archi fidèle au tome 1. Je recense deux grosses différences entre les deux œuvres : la première est la nuit de noce de Daenerys qui est beaucoup plus soft dans le livre que dans l’écran.

voir le spoil La deuxième sur laquelle je me suis le plus interrogée, c’est le mystère du meurtre de Jon Arryn. Dans l’adaptation, ma compréhension de cette affaire est la suivante : c’est un complot de Little Finger, qui, en tuant Jon Arryn avec l’aide de Lysa, fait une pierre de coup en tournant les soupçons vers les Lannister. Dans ce que je viens de lire, il semble, par les discussions entre Jaime et Cersei, que ce soient bien les Lannister qui tuent la main. Mystère qui garde donc toute son épaisseur et qui restera encore à éclaircir dans les prochains tomes, même si, à ma connaissance, il ne reste plus beaucoup de temps à Ned avant sa dernière révérence.

Il va nous manquer Ned, j’ai tellement apprécié sa droiture et son sens de l’honneur confirmés dans cette première lecture. En revanche, Catelyn est tout bonnement détestable. Son aversion à l’égard de Jon Snow est beaucoup trop cruelle pour qu’on puisse l’apprécier mais c’est un très bon personnage, pleins d’amour et de devoirs pour ses enfants et son mari et qui fait avancer l’histoire progressivement par ses initiatives. C’est ça qui est franchement cool avec GOT, certains perso sont plus noirs que d’autres, d’autres plus blancs que certains mais l’ensemble de la palette reste grise. Chacun a ses raisons, plus au moins justifiées, de faire ce qu’il fait. Dès lors, on n’est pas plus dans un camp que dans l’autre, on attend juste de découvrir quels coups se préparent dans l’ombre. Jon, par contre, c’est notre chouchou ! Déjà, je trouve l’acteur trop beau puis, c’est le vilain canard de la maison Stark, comment ne pas vouloir le prendre sous son aile ? J’suis comme Tyrion, j’ai « un faible pour les infirmes et les bâtards et les choses brisées. » Tyrion, quel (petit) Homme ! Il est vraiment trop drôle avec sa langue aussi pendue qu’acérée et son esprit aiguisé, il pique toujours au meilleur moment. Il ne prend peut-être pas beaucoup de place mais il vole la vedette à qui passe par là. Il est ce qu’on appelle un personnage tru-cu-lent (hé, deuxième fois que j’utilise cet adjectif dans une chronique en quinze ans de carrière. Je le fais remarquer car ça me semblait important de le dire, la première fois, c’était ici). Avec du recul, je pense que Tyrion est LE personnage de la série, j’aime trop sa bad bitch energy, il est génial ! 

Dernière remarque sur les personnages : leurs âges. Ils sont tellement jeunes ce qui n’est pas du tout étonnant, ça donne plus de réalisme à la série car je présume qu’en ces temps médiévaux, les enfants et notamment les filles grandissaient très vite (plutôt, on les arrachait à l’enfance très vite) et surtout, les personnages de romans de fantasy sont toujours jeunes, en général. N’empêche, voir Daenerys enceinte à quatorze ans, Jon sur le mur à quatorze ans et Sansa promise au prince à onze ans me fait me demander les âges des acteurs dans la série. Pas que j’aimerais voir des enfants jouer ce genre de rôles à la télé ! c’est seulement que la jeunesse des personnages donne une autre lecture de ceux-ci.

Voilà où j’en étais dans mes réflexions livresques quand je me suis dit que, quand même, c’est pas du tout chiant à lire, au contraire, c’est même plaisant maaiiiiiis, je connais déjà toutes les scènes qui se succèdent au fil des pages. J’avais l’impression tout le long de faire une relecture alors que je ne l’ai jamais lu ! Je disais plus haut que je trouvais super que l’adaptation ait été aussi fidèle à l’écrit originel. De fait, j’étais limite en train de lire le script de la série télé, en fait. Je n’apprends rien de nouveau et, me concernant, je n’ai jamais aimé les relectures, je n’en fais qu’exceptionnellement. Par conséquent, j’ai eu une lecture biaisée de ouf. Ça aurait donné quoi si j’avais lu ce premier livre sans avoir regardé la série avant ? Certainement toute autre chose ! J’pense que j’aurais davantage aimé ! En l’état, aucune place à l’imagination n’était possible, je revoyais juste la série se dérouler telle quelle dans ma tête. Donc, bon, un 15/20, c’est un peu bas pour le super tome – il me semble – que ça a été mais c’est une note un peu biaisée et ça se devait d’être préciser.

La dernier tiers est la meilleur partie du bouquin. De tous les personnages qu’on suit dans la narration, Ned avait le meilleur arc. L’intrigue au sujet de Jon Arryn était trop intéressante entre les Lannister d’un côté, la dague du tueur de Bran de l’autre, les bâtards de Robert qui s’ajoutent dans l’addition et les magouilles de Little Finger à côté. En vrai, je pense que Ned aurait pu parler de ses soupçons à Robet le dernier jour du tournoi de la main quand ils sont dans la tente du roi. Le moment était propice aux confidences et même si Ned se méfiait un peu de Robet, j’avais l’impression qu’il pouvait lui faire confiance sur ce coup. Mais s’il lui avait dit, il n’y aurait sûrement pas eu les 36 tomes d’après donc gardons-nous bien de trouver des raccourcis dans l’histoire.

Whatever, mon passage préféré de ce tome 1 est l’entretien secret entre Ned et Varys. J’appréciais déjà beaucoup Varys dans la série télé et il n’en est que plus cool dans le bouquin. Varys est quand même le seul homme du peuple dans toute la saga à avoir habilement mené sa barque jusque chez les puissants de ce monde. J’aime son côté outsider et attaché au bien-être du petit peuple dont il est originaire. 

J’arrivais donc bientôt à la fin en me disant que malgré la répétition de la lecture qui n’est pas de la faute du livre, ce dernier avait fait un sans faute. Jusqu’à ça :

« Il baisa la main de la négresse »

Purée, retenez-moi.

J’en parlais rien que dans la dernière chronique que j’ai écrite la semaine dernière. Non, mais ça y est, y’en a marre !! J’sais pas si c’est l’auteur ou la trad mais pourquoi ?? Le racisme est un non sujet dans ce bouquin, c’est un problème qui n’existe pas dans ce monde alors pourquoi employer des termes racistes dans le texte ??? Eh, vraiiiiment, ils aiment trop ça, c’est pas possible, ça me dépasse. Voilà, encore une bonne raison de lire mes putains de chroniques mais comme personne veut les lire, moi je me retrouve à gueuler toujours sur les mêmes trucs ! Y’EN A MARRE !

Tant qu’à parler de la trad, je voulais aussi souligner que celle-ci se fait remarquer car ce n’est pas un français “standard“. C’est ce que j’appellerais du “vieux français“. Moi, ça ne m’a pas dérangé, j’ai trouvé que ça collait bien avec l’ambiance médiévale du Trône de Fer mais d’un côté, c’est dommage parce que c’est un français écrit moins accessible, par exemple pour les gens qui n’aiment pas lire mais qui seraient tentés de commencer la saga car ils ont adoré l’adaptation télé. Ça peut freiner certains fans. Et les formules telles que du coup m’ont paru dissoner dans le texte. C’est tellement familier de dire du coup, ou peut-être que ça se dit en “vieux français“, va savoir.

Puis, évidemment, quand apparaît une première faute, on peut être sûr qu’il y en aura au moins une deuxième derrière et ça ne rate pas. J’ai trouvé l’avant-dernier chapitre super chiant à lire. C’est l’ascension de Catelyn aux Eyrié qui aurait largement pu être plus rapide, dont le passage aurait même pu être sauté, d’ailleurs. Peut-être que l’auteur voulait nous montrer à quel point les Eyrié sont isolés et imprenables, je ne sais pas mais ça a ralentit le rythme du récit, ce qui est bien dommage car il n’a jamais ralenti depuis le début et surtout parce qu’on est arrivé à la fin !

Ça m’a rendu lasse, j’avais hâte d’en finir. On retrouve donc Eddard au dernier chapitre, qui, après l’assaut de l’armée Lannister contre lui, se retrouve dans bien des difficultés. Ahh terrible fin pour notre Ned qu’on lira donc au prochain tome. Il nous tarde de découvrir la suite, bien qu’on la connaisse déjà !


Les extraits que j’ai retenus

Quelque part, là-bas, au-delà du crépuscule et par-delà le bras de mer, s’étendait un pays de vertes collines et de plaines en fleurs où couraient de grandes rivières, où la pierre sombre des tours se détachait sur le merveilleux gris-bleu des montagnes, où, tout armés pour le combat, des chevaliers galopaient sous la bannière de leurs suzerains. Les Dothrakis nommaient ce pays Rhaesh Andahli, le pays des Andals, tandis que les habitants des cités libres l’appelaient Westeros, les royaumes du soleil couchant. Viserys, lui, disait tout simplement « notre pays ». Deux mots qu’il prononçait comme une prière. « Nôtre par droit du sang. Nôtre toujours et, quoique dérobé par traîtrise, nôtre à jamais. Le voler au dragon ? nenni. Le dragon se souvient. »

« Lord Eddard Stark, je souhaiterais vous faire Main du Roi. »
[…]
« Que Votre Majesté me pardonne, s’excusa-t-il, je ne suis pas digne de cet honneur. »
Robert émit un grognement d’impatience badin : « Si j’avais simplement l’intention de te mettre à l’honneur, j’accepterais que tu te défiles. Or, si je projette de te confier la gestion du royaume et la conduite des armées, c’est pour ne plus me consacrer qu’à manger, boire et hâter vos regrets. » Il se tapota la bedaine et, sur un sourire moqueur : « tu connais le dicton sur le roi et sa Main ? »
— “Ce que le roi rêve, la Main l’édifie.“
— Un jour, j’ai couché avec une poissonnière qui m’a révélé la variante en usage dans la populace : “Ce que le roi bouffe, la Main s’en farcit la merde.“ La tête rejetée en arrière, il se mit à rire à gorge déployée, sans égards pour la crypte qui répercutait ses éclats narquois, ni pour les Winterfell défunts qui, tout autour, se pétrifiaient de réprobation.

— Laisse-moi te donner un conseil, reprit Tyrion. N’oublie jamais ce que tu es, car le monde ne l’oubliera pas. Puise là ta force, ou tu t’en repentiras comme d’une faiblesse. Fais-t’en une armure, et nul ne pourra l’utiliser pour te blesser. »
Mais Jon n’était pas d’humeur à supporter les conseilleurs. Il maugréa : « Comme si vous saviez ce qu’est la bâtardise !
— Aux yeux de leurs pères, les nains sont toujours des bâtards. 
— Mais vous êtes par votre mère un Lannister légitime…
— Ça…, riposta Tyrion d’un air diabolique, va en persuader le seigneur mon père. Comme ma mère est morte en me donnant le jour, il n’a jamais pu obtenir de confirmation.
— Moi, j’ignore même qui fut ma mère.
—Une femme, je présume. Il n’y a guère d’exception. » il gratifia le garçon d’un sourire sinistre. « Souviens-toi de ceci, mon garçon : tous les nains peuvent être des bâtards, mais tous les bâtards ne sont pas forcés d’être des nains. »
À ces mots, il tourna les talons et, sans se presser, repartit festoyer tout en sifflotant. Mais, au moment où il poussa la porte, la lumière en provenance de l’intérieur déginganda sa silhouette en travers de la cour et, quelques secondes, lui décerna une prestance véritablement royale.

« Tyrion, dit-il sombrement, cher Tyrion, tu me donnes parfois lieu de me demander de quel bord tu es. »
La bouche pleine de pain et de viande, Tyrion s’offrit une lampée de blonde pour bien déglutir, puis glissa à Jaime un rictus de loup. « Voyons, Jaime, cher Jaime, dit-il, tu me blesses, là. Tu sais à quel point j’aime ma famille. »

« L’acier faire partie de ton bras, dit-il. Peux-tu lâcher une partie de ton bras ? Non. Syrio Forel a été première épée du Grand Amiral de Braavos pendant douze ans, il sait de quoi il parle. Écoute-le, mon garçon. »
À force de s’entendre parler ainsi, Arya crut bon d’objecter : « Je suis une fille.
— Garçon, fille…, répliqua Syrio Forel, tu es une épée, voilà tout. » il cliqueta des dents. « Exactement comme ça, ça, c’est la bonne prise. Ce n’est pas une hache de guerre que tu tiens, mais une…
— …aiguille, acheva-t-elle à sa place, d’un ton farouche.
— Exactement. À présent, nous allons commencer la danse. Souviens-toi, petit, ce n’est pas la danse de Westeros que nous allons apprendre, ni la danse du chevalier, le hachis, le martelage, non. Voici la danse du spadassin, la danse de l’eau, vive et subite. Nous sommes tous faits d’eau, tu sais ça ? Hé bien, quand on met en perce, l’eau fuit, et l’homme trépasse. » il recula d’un pas, leva sa propre épée de bois. « À présent, essaie de me frapper. »
Arya s’y employa. Elle s’y employa toute l’après-midi, jusqu’à ce que le moindre de ses muscles fût peine et douleur, et, cependant, Syrio Forel cliquetait des dents et lui disait comment s’y prendre.
Le lendemain, ils commençaient le travail sérieux.

Si gros, gauche et froussard qu’il fût, il n’avait rien d’un sot. Il vint, une nuit, rendre visite à Jon dans sa cellule. « J’ignore ce que tu as fait, dit-il, mais je sais que tu l’as fait. » Il se détourna, par timidité. « Je n’avais jamais eu d’ami.
— Nous ne sommes pas amis, répondit Jon en levant la tête, nous sommes frères. »
Oui, frères, songea-t-il une fois seul. Robb, Bran, Rickon étaient les fils de Père, mais, malgré l’affection qu’il leur conservait, il savait désormais qu’il n’avait jamais été véritablement des leurs. Catelyn Stark y avait farouchement veillé. Et les murs gris de Winterfell auraient beau persister à le hanter en rêve, à présent, Châteaunoir incarnait sa vie, une vie où ses frères s’appelaient Sam et Grenn et Halder et Pyp, où ses frères étaient les proscrits et les marginaux qui portaient le noir de la Garde de Nuit.
« Mon oncle disait vrai », souffla-t-il à Fantôme. Reverrait-il jamais Benjen Stark, pour lui faire le même aveu ?

Plus de Chronicles

L’Alchimiste

L’Alchimiste, Paul Coelho 🪦 Note : 10/20 ☠️ Au détour d’une étagère à la Croix Rouge, je tombe sur ce petit livre à la couverture violette. Une lecture courte comme il m’en fallait, alors je l’embarque aux côtés de L’Écume des Jours en me disant que j’allais passer un super moment avec dans l’avion. Qui…

Lire plus

L’Écume des Jours

L’Écume des Jours, Boris Vian 🪦 Note : 10/20 ☠️ Par où commencer après avoir disparu pendant 1 an ? Je préviens d’entrée : cette “chronique“ n’aura aucun sens. Ce serait même mentir que dire que j’écris là une critique de L’Écume des Jours. Disons plutôt que cet article ne sera qu’un prétexte pour raconter…

Lire plus

Tous autour d’Athena pour combattre !

Les Chevaliers du Zodiaque, tome 6, Masami Kurumada

Je suis mon pire ennemie. Ça fait quasiment trois mois que je ne suis plus active sur mon blog, ça me tue. Je suis trop triste quand je suis loin de mon petit monde virtuel. J’ai de bonnes excuses ! Le problème, c’est que j’ai lu ce…

Lire plus

Le Livre du Voyage

Le Livre du Voyage, Bernard Werber 😒 Note : 11.5/20 😕 Moi, je suis toujours partante pour voyager ! D’ailleurs, j’écris ces lignes depuis l’aéroport de Tunis Carthage (allez, encore une heure et demie avant d’embarquer !) C’est un livre qu’est sur ma liste depuis plus de dix ans, le voyage s’est fait attendre !…

Lire plus

Bon Rétablissement

Bon Rétablissement, Marie-Sabine Roger 🥈 Note : 17/20 💸 Je jette un œil à #LaListeÀPapa (challenge perso) et je vois que c’est au tour de ce roman. C’est le genre de lecture dont je sais d’office qu’elles vont me toucher – et ce fut le cas. J’allais donc chercher mon petit bouquin à la médiathèque…

Lire plus

Goddess

Starcrossed, tome 3, Josephine Angelini 😒 Note : 12/20 😕 Alors que devrais-je penser de Starcrossed ? Je l’ai fini avant-hier et depuis, mon avis a beaucoup évolué. Au moment où j’étais en train de le lire, je détestais. Puis, quand j’ai terminé, je pensais que c’était moyen et maintenant, je trouve que c’est finalement…

Lire plus

Un problème est survenu. Veuillez rafraîchir la page et/ou réessayer.