Une Vie Ailleurs

Une Vie Ailleurs, Gabrielle Zevin

Présentation

Après la vie, il y a… Ailleurs.

Liz Hall, 15 ans, vient de mourir dans un accident de vélo. Elle se retrouve sur Ailleurs, un lieu où les défunts rajeunissent jusqu’à redevenir bébés et repartir dans le grand cycle de l’humanité. Pour Liz, qui rêvait d’atteindre enfin ses seize ans, le choc est brutal. Car elle n’a aucune envie de rajeunir. Ce qu’elle voulait, c’était décrocher son permis. Entrer à la fac. Connaître enfin le grand amour ! Il va pourtant lui falloir faire le deuil de son ancienne vie sur Terre avant de trouver un sens à cette nouvelle existence…
Un livre extraordinaire, à la fois émouvant, drôle et tendre.

15/20

Chronicle

Coïncidence ? Bizarre. En tout cas, contente de l’avoir lu.

Ce roman était posé depuis quelques temps sur mon étagère. Je ne savais pas du tout de quoi il parlait, je l’avais juste pioché dans ma liste d’envies et il attendait sagement son tour dans ma reading playlist du début de cette année. Or, au début de cette année, j’ai vécu (je vis toujours) le plus grand drame de ma vie ; j’ai perdu mon père Allah yarahmou. Il n’y a pas de mots pour décrire la peine, la douleur, la souffrance, le manque et le vide gigantesque que je ressens dans mon coeur, mon corps, mon esprit, mon âme. Je n’aborderai pas plus que ça le sujet car ça me crève d’en parler, ce que je peux dire, c’est que j’essaye de reprendre ma vie et d’avancer comme mon père le voudrait. Pour mon père.

Je rentre de Tunisie après avoir enterré la personne la plus chère de mon univers dans le pays de mes ancêtres puis je me dis que dans l’immédiat, faut que j’essaye d’oublier un peu, ça fait trop mal. Je décide de me plonger dans un livre, comme toujours. Celui-ci est tout en haut de la pile. C’est le premier qui m’attend alors je l’attrape, je commence et je vois qu’il parle de mort et de deuil. Coïncidence assez énorme, je dois bien l’avouer.

Moi qui souhaitais lire pour oublier un peu, peine perdue ! Déjà, c’était difficile de reprendre la lecture et surtout l’écriture de mes chroniques après que ma vie soit partie en fumée (car, oui, il m’a fallu pas mal de semaines avant d’avoir assez de recul pour me dire que ma vie n’était pas fichue et que je devais la continuer). Maintenant, je sais que je dois reprendre ma vie petit à petit et je me sens même prête à… aller de l’avant ? Ai-je même le choix ? C’est précisément pour cela que je me suis forcée à continuer de lire et écrire car je savais que cela m’aiderait à guérir un peu. Il fallait que je lise.

C’était donc difficile avant même de commencer mais je m’y oblige, et ensuite, je découvre le sujet du bouquin qui me met vraiment un coup au moral. Au début, j’ai beaucoup de mal à lire avec l’épreuve que je suis en train de traverser. Le premier tiers du livre me saoule. Je trouve que l’histoire de Liz est mignonne, que c’est une jolie façon de concevoir la vie après la mort mais je n’arrive pas à être plus intéressée que ça. En plus, je pensais beaucoup à mon père et j’étais guidée par l’idée de savoir ce qu’il faisait maintenant, où il se trouvait, ce qui l’attendait. En Islam, la vraie vie commence là. Je lisais donc beaucoup de livres sur la vie après la mort en Islam, la vie tombale et le Coran. De ce fait, lire ce que mon père était en train de vivre réellement après sa mort et, dans le même temps, lire l’histoire farfelue de ce que Liz était en train de vivre après la sienne a fait en sorte que je n’arrive pas trop à plonger dans le monde que nous dessinait Gabrielle Zevin. C’était trop loufoque. Ehh, je viens de me rendre compte que j’ai déjà lu un livre de cette autrice y’a genre dix ans ! Ça s’appelait Je ne sais plus pourquoi je t’aime, faudrait que je retrouve la petite chronique que j’avais faite ! J’crois que je n’avais pas aimé.

Je m’égare ! Comme je disais, difficile de commencer pour moi. Ensuite, je tombe sur

voir le spoil le nom d’Amadou Bonamy, le chauffard meurtrier et fuyard ! Fallait voir comment j’ai ri quand j’ai vu le blaz. Genre avec tous les prénoms disponibles aux Etats-Unis, ça devait tomber sur Amadou.

description

Voilà où j’en étais quand, un peu avant la moitié, j’ai commencé à plutôt bien me prendre dans l’histoire. Tout d’abord, les personnages sont très sympathiques comme Curtis Jest ou la grand-mère de Liz donc on ne peut que les apprécier, et surtout Liz, totalement déboussolée, qui est en train de vivre un truc de ouf : sa propre mort ! Elle est si jeune, c’est tragique de mourir aussi bêtement. Je comprends totalement sa colère et son déni. Le cadeau pour son père qu’elle n’a donc jamais eu le temps de lui offrir m’a beaucoup touché. Ce pull en cachemire vert d’eau de la couleur de ses yeux pour lequel elle a économisé des semaines pour lui faire plaisir et lui montrer qu’elle était capable de gérer son argent. Ô papa, tu me manques tellement. J’aurais décroché la lune, toutes les étoiles pour te les offrir. T’en aurais même pas voulu, mais je l’aurais fait quand même. Si j’avais pu, je t’aurais donné mes poumons et si je pouvais, j’escaladerais toutes les montagnes, je traverserais tous les déserts, tous les océans à la nage juste pour une minute avec toi, pour te voir, pour te parler. La vie va être longue sans toi et j’espère qu’on se retrouvera au paradis inchAllah.

Mourir si jeune sans avoir eu le temps de faire tellement de choses. Sans avoir eu le temps de commencer sa vie, en fait. Moi, je la commence à peine et j’ai déjà perdu mon père, lui qui était mon meilleur ami, mon phare dans la nuit. 
J’ai apprécié faire le parallèle entre la situation de Liz et la mienne. D’un côté, je fais le deuil de celui qui est parti, de l’autre, elle fait le deuil de ce qu’elle a laissé. Elle a même fait une liste des choses de la Terre qui lui manquent le plus et, quand j’ai vu ça, je n’ai pu m’empêcher de faire dans ma tête la liste des choses de mon père qui me manquent le plus. Il y avait quatre éléments dans sa liste et j’ai décidé moi aussi de m’arrêter aux quatre premières choses qui me sont venus tout de suite à l’esprit :

  • Les heures et les heures de discussions au pied du lit ;
  • Ses blagues, son rire, son sourire ;
  • Le bruit léger de ses pas sur le sol du couloir qui mène à la chambre ;
  • Le clapotis des cuves d’oxygène qui me berçait de nuit comme de jour et m’indiquait que tout allait bien.

La maison est si vide et silencieuse sans lui. C’était lui ma maison. Je me sens comme si je n’avais plus de toit sur la tête. À moi de reconstruire le toit et la baraque brique par brique.

À Liz de reconstruire sa petite vie sur Ailleurs. J’ai trouvé que son développement sur l’île était super bien mené. Elle passe d’une petite fille malheureuse et perturbée à une grande fille qui accepte enfin ce qui lui est arrivé et qui s’épanouit de jour en jour. Si elle n’a pas eu le temps de vivre sa vie sur Terre, Ailleurs lui va comme un gant. Owen est la rencontre qui chamboule sa vie, en même temps qu’il lui donne un coup de pouce pour accomplir sa dernière mission sur Terre. J’ai aimé ce personnage et j’ai encore plus aimé le fait que Liz l’aide à passer à autre chose autant que lui l’aide aussi aller de l’avant.

voir le spoil L’arrivée d’Emily est un coup de tonnerre pour eux, mais, finalement, y’a toujours un bon timing pour rencontrer quelqu’un. Si Emily était l’âme soeur d’Owen sur Terre, la Emily et l’Owen d’Ailleurs ne sont plus les mêmes personnes.

J’ai bien aimé tout ça. C’est drôle de voir que dans ce monde, on rajeunit pour redevenir un bébé puis renaître sur Terre. J’ai trouvé que la symbolique était vraiment cool en plus d’être originale. C’est d’ailleurs toute cette histoire d’Ailleurs et de vieillesse à l’envers qui m’a fait doucement sourire sur les très rares passages où dieu était évoqué. Laissez dieu en dehors de ces fantaisies, il n’y avait absolument aucune pertinence à le nommer. Par exemple, quand Betty fait une petite prière pour remercier dieu avant de manger au dîner de Thanksgiving, bah la première question qu’on se pose légitimement est où est dieu la-dedans ? Ça me paraît juste évident de rencontrer dieu dans l’au-delà sinon pourquoi croire en dieu ? Ici, il ne le rencontre jamais, la vie se déroule comme sur Terre sauf qu’on est sur Ailleurs et qu’au lieu de vieillir, bah on rajeunit. Comme je disais plus haut, évoquer dieu ne fait que renforcer le côté loufoque de l’histoire. Par conséquent, ça devient trop candide. Pour moi, il aurait fallu ignorer totalement la notion de dieu et toutes les implications qu’il suppose (le paradis, l’enfer, le jugement, les anges etc.)

En revanche, sur le fait de rajeunir pour renaître sur Terre, bien que je trouve l’idée plutôt cool, elle est juste épouvantable. Cela veut dire qu’on ne reverrait possiblement jamais les gens qu’on aime si on ne meurt pas au même moment ou si on a des différences d’âges trop grandes. Je trouve ça effroyable. Heureusement que c’est pas comme ça en vrai, moi qui prie tous les jours pour que dieu m’accorde d’entrer au paradis main dans la main avec mon père ! 

Ça reste des détails qui ne servent que de décor secondaire. Le fond du bouquin, c’est le deuil et j’ai vraiment aimé la leçon de vie derrière cette histoire. Je pense que ça peut introduire ces sujets qui sont si difficiles à un jeune public et par là, le roman a un côté didactique intéressant. Il permettra de rassurer ceux qui ont beaucoup d’inquiétudes. On est tous confronté à la mort un jour ou l’autre. Je suis en plein dedans et ça me paraît insurmontable. Mais je sais que je vais le surmonter. Pour mon père. 
Ainsi, Une Vie Ailleurs nous donne une jolie vision de la vie après la mort. C’est littéralement l’illustration des termes “la vie continue“. Et puis on redevient un bébé et c’est reparti pour un tour. Liz expérimente le deuil en sens inverse lorsque l’heure de Sadie est venue de renaître sur Terre. J’ai trouvé ce passage triste et émouvant. Le cycle de la vie est impitoyable. 

Et encore plus que la vie, le pardon. Le chapitre avec l’arrivée d’Amadou est le passage le plus émouvant. Je viens de le relire, j’ai les larmes aux yeux. Ça me touche beaucoup et me rend très triste pour Amadou. J’espère qu’un jour, je pourrais avoir la force de pardonner, moi aussi.

Je trouve que, dans un sens, cette lecture m’a permis de m’aider un peu dans le deuil que je suis en train de vivre. Moi, je suis la personne qui est restée et avec cette lecture, j’ai pu voir du côté de la personne qui est parti. Je me demande si mon père jette un oeil sur moi de temps en temps, ou s’il attend juste le jour de la Résurrection. J’espère qu’à sa droite, 77 portes menant au paradis lui sont grandes ouvertes et n’attendent que lui. J’espère qu’il se repose enfin de la belle vie bien remplie qu’il a mené. J’espère qu’il se balade dans des champs infinis, des jardins colorés, qu’il savoure les bons fruits des arbres autour de lui. Je lève la tête vers le ciel et je le vois dans les nuages, dans chaque rayon doré du soleil, dans les étoiles. Est-ce que toi aussi tu lèves la tête vers le ciel ? Je ne suis pas triste pour mon père Allah yarahmou, je suis triste pour moi, j’aurais voulu avoir plus de temps avec lui mais Allahu akbar, c’était écrit. Et je continue de lui écrire, lui balancer quelques bouteilles à la mer en espérant qu’elle puisse lui parvenir à lui aussi, un jour. C’est bien de parler à ceux qui sont partis, ils sont là, ils écoutent. El hamdulillah.

Update : Mais regardez-moi ce que j’ai trouvé dans mon vieux classeur de chroniques :

Ahh, l’époque où mes “chroniques“ faisait une demi-ligne. J’ai écrit ça en 2012 et à cette époque, je mettais un point d’honneur à écrire sur papier (t’façon, j’avais pas d’ordi donc c’était pas comme si j’avais vraiment le choix). Nous voici déjà en 2022 aujourd’hui. Comment aurais-je pu savoir que je perdrai mon père dix ans plus tard ? J’donnerais tout pour revenir dans le passé, rien qu’un peu plus de temps avec mon guide, mon maître, mon berger, mon roi, mon chez moi, mon phare dans la nuit. Mon père.


Les extraits que j’ai choisis

Liz avait été heureuse. C’était extraordinaire… Pendant tout son séjour sur Terre, elle ne s’était pas considérée comme quelqu’un de particulièrement heureux. Comme beaucoup de gens de son âge, elle avait été sujette à des sautes d’humeur et à des coups de cafard dont elle trouve aujourd’hui les raisons totalement stupides : elle n’avait pas été la coqueluche du lycée, elle n’avait pas de petit ami, sa soeur lui tapait parfois sur le système, et elle avait des taches de rousseur. À de multiples égards, elle avait vécu comme si elle attendait que toutes les choses bien arrivent : habiter seule, aller à la fac, conduire une voiture. Aujourd’hui, Liz voit enfin la réalité en face. Elle avait été heureuse. Heureuse, heureuse, heureuse. Ses parents l’avaient aimée ; sa meilleure amie avait été la fille la plus compréhensive et la plus merveilleuse du monde ; le lycée avait été facile ; son soeur n’avait pas été si abominable que ça ; son chien s’était plu à dormir à côté d’elle dans le lit ; et puis, oui, elle était même passée pour jolie. Jusqu’à une semaine plus tôt, sa vie s’était déroulée sans la moindre anicroche. Son existence avait été heureuse et simple, et maintenant cette existence était terminée.

— Mais la Terre est tellement loin, et ces jumelles n’ont même pas l’air particulièrement puissantes. Comment est-il possible de voir comme ça jusqu’à la Terre ?
— Peut-être que c’est ça, le truc. Peut-être que la Terre n’est pas loin du tout.
Liz pouffe. 
— C’est une jolie idée, Esther.
— N’est-ce pas ? (Esther sourit.) Je me représente la chose comme un arbre, parce que tout arbre est en réalité deux arbres. Il y a l’arbre avec ses branches que tout le monde voit, et puis il y a l’arbre à l’envers avec ses racines, qui pousse dans l’autre sens. La Terre correspond aux branches, qui poussent vers le ciel, et Ailleurs correspond aux racines, qui poussent vers le bas de manière parfaitement symétrique. Les branches ne pensent pas beaucoup aux racines, et peut-être les racines ne pensent-elles pas beaucoup aux branches, il n’en demeure pas moins qu’elles sont reliées par le tronc, tu comprends ? On est toujours reliés, sauf qu’on n’y pense p…
— Esther ! l’interrompt Liz une troisième fois. Mais enfin, comment marchent les jumelles ? Comment savent-elles ce que je veux voir ?
— C’est un secret, répond Esther. Je pourrais te le dire, mais je serais forcée de te tuer.
— Ce n’est pas drôle du tout.
Liz fit mine de s’en aller.
— Très bien, Lizzie, je vais te le dire. Approche-toi tout près, et je vais te le chuchoter à l’oreille.
Liz obtempère.
— Repose-moi la question, cette fois en disant s’il vous plaît.
— Esther, comment marchent les jumelles, s’il vous plaît ?
Esther se penche vers l’oreille de Liz et chuchote :
— C’est… de la magie.
Elle éclate de rire.
— Je ne sais pas pourquoi je prends même la peine de discuter avec vous.
— Tu n’as pas d’amis et tu te sens profondément seule.
— Merci beaucoup, dit Liz en quittant la TP folle de rage.
— À demain, Liz, lui crie Esther d’un ton joyeux.

— Si ça peut vous consoler, je sais ce que vous ressentez. Je suis mort jeune moi aussi.
Liz examine le visage d’Owen. Sans ses lunettes de soleil, elle se rend compte qu’il est à peine plus âgé qu’elle, qu’il doit avoir dans les dix-sept ou dix-huit ans.
— Quel âge aviez-vous quand vous êtes arrivé ici ?
Owen hésite.
— Vingt-six ans.
Vingt-six ans, songe Liz avec amertume. Il y a un monde entre quinze ans et vingt-six ans. Les gens de vingt-six ans font des choses auxquelles les gens de quinze se contentent de rêver. Lorsque Liz reprend la parole, c’est de la voix mélancolique d’une personne bien plus âgée.
— J’ai quinze ans, monsieur Welles. Je n’aurai jamais seize ans et, bientôt, j’aurai à nouveau quatorze ans. Je n’irai pas au bal de fin d’année, ni à la fac, ni en Europe, ni nulle part. Je ne décrocherai jamais mon permis de conduite de l’Illinois ni mon bac. Je ne vivrai jamais avec quelqu’un d’autre que ma grand-mère. Je ne pense pas que vous sachiez ce que je ressens.
— Vous avez raison, dit doucement Owen. Tout ce que je voulais dire, c’est que c’est difficile pour nous tous de continuer nos vies.
— Je continue ma vie. Il y avait juste cette petite chose que j’avais besoin de faire. Je ne pense pas que ça aurait fait une grande différence pour quiconque à part moi, mais j’avais besoin de le faire.

— Ouais, bon, je suppose que je rapetisse, en plus. J’ai huit ans, tu sais, précise Liz.
— Eh oui, c’est petit.
— Enfin bon, en fait j’ai huit-cinq ans, mais sur Terre j’en aurais eu vingt et un, alors ce n’est pas la même chose que d’avoir tout bêtement huit ans, rétorque Liz. D’ailleurs, Owen, tu as dix ans. Ce n’est pas beaucoup plus vieux que huit.
— J’ai dix ans ? Je n’ai pas du tout l’impression d’avoir dix ans.
— Tu te conduis pourtant souvent comme un petit de dix ans, le taquine Liz.
— Mais si j’avais vécu, j’en aurais quarante et un.
— Ouah, ça, c’est vraiment vieux ! (Liz a un mouvement de tête chagriné.) Rends-toi compte ! Si tu avais quarante et un ans, et moi vingt et un, et que nous vivions encore sur Terre, nous ne nous serions sans doute jamais rencontrés.

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