The Curious Incident of the Dog in the Night-Time, Mark Haddon
Présentation
The Curious Incident of the Dog in the Night-Time is a murder mystery novel like no other. The detective, and narrator, is Christopher Boone. Christopher is fifteen and has Asperger’s Syndrome. He knows a very great deal about maths and very little about human beings. He loves lists, patterns and the truth. He hates the colours yellow and brown and being touched. He has never gone further than the end of the road on his own, but when he finds a neighbour’s dog murdered he sets out on a terrifying journey which will turn his whole world upside down.
14.5/20
Chronicle
C’est le tout premier livre de ma vie que je lis en anglais (j’ai lu The Absolutely True Diary of a Part-time Indian il y a quelques mois alors pourquoi je raconte n’importe quoi ?) Bref, je suis contente et fière de moi 😀 mais bon, ça va, il n’était pas trop compliqué. Et il m’a beaucoup apporté par rapport à l’apprentissage de la langue. Je devrais lire en vo plus souvent.
Bon, pour parler du livre, eh bien je dirais que le point de vue du narrateur est très étrange et intriguant. Notre jeune homme a le Syndrome d’Asperger : en gros il ne ressent aucun sentiment, il est asocial car il n’arrive pas à comprendre les autres donc ça lui fait peur et il est profondément rationnel (super fort en maths !). Bref, je ne connaissais pas, c’était intéressant.
L’histoire qu’il nous raconte, c’est vraiment son journal de bord où il y annote tout ce qui lui passe par la tête. Et avec ce livre, je suis allée de rebondissements en rebondissements. D’habitude, on peut toujours un peu prédire ce qui va se passer mais là, je ne les voyais pas venir ! Ca m’a fait halluciner limite ! Mais comme on voit qu’à travers les yeux de Christopher, c’est normal qu’on les ait pas deviné.
En fait, j’ai bien aimé mais, à vrai dire, j’ai un peu déchanté sur la fin parce que la
voir le spoil
fugue de Christopher est d’un certain point de vue parfaitement rationnel mais moi je l’ai trouvé lâche et égocentrique. Il ne pense qu’à lui et même si c’est dû à sa maladie, ça m’a paru être une si mauvaise réaction.C’est surtout pour son père. Cet homme veut bien faire pour son fils, il est toute sa vie mais lui ne le voit pas et pense même le contraire. Il me semble que c’est une histoire vraie alors dans ce cas, je trouve que son père est un grand homme qui a assumé toute les responsabilités de ce qu’engendrait son fils et n’a pas fui la difficulté au contraire de sa femme.
Et tout le monde fait des erreurs alors qui sommes-nous pour ne pas pardonner (et c’est moi qui dit ça heiin) ?
En somme, des personnages très attachants qui nous font voir encore une fois, une facette de la condition humaine.
Les extraits que j’ai choisis

At 2:07 a.m. I decided that I wanted a drink of orange squash before I brushed my teeth and got into bed so I went downstairs to the kitchen. Father was sitting on the sofa watching snooker on the television and drinking whisky. There were tears coming out of his eyes.
I asked, « Are you sad about Wellington ? »
He looked at me for a long time and sucked air in through his nose. Then he said, « Yes, Christopher, you could say that. You could very well say that. »
I decided to leave him alone because when I am sad I want to be left alone. So I didn’t say anything else. I just went into the kitchen and made my orange squash and took it back upstairs to my room.

And Mother shouted, « I wrote to him every week. Every week. »
And Father shouted, « Wrote to him ? What the fuck use is writing to him ? »
And Mr Shears shouted, « Whoa, whoa, whoa. »
And Father shouted, « I coocked his meals. I cleaned his clothes. I looked after him every weekend. I looked after him when he was ill. I took him to the doctor. I worried myself sick every time he wandered off somewhere at night. I went to school every time he got into a fight. And you ? What ? You wrote him some fucking letters. »
